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Gendarmerie - Harcèlement sexuel : audience du 2 février 2016 à 13 h 30 - TGI de PARIS - 10ème chambre correctionnelle - Chambre spécialisée en affaires pénales militaires (6)
Sur METRONEWS : https://www.metronews.fr/info/proces-pour-harcelement-sexuel-dans-la-gendarmerie-je-te-niquerais-bien-quand-est-ce-qu-on-baise/mpba!0RtqfpHOgwHRM/
Harcèlement sexuel dans la gendarmerie: "Je te niquerais bien, on baise ?"
Mis à jour : 03-02-2016 07:59
- Créé : 02-02-2016 09:30
PROCÈS - Deux gendarmes gradés de Joigny (Yonne) comparaissent ce mardi 2 février à Paris pour avoir intimidé une subalterne en tenant des propos salaces. La victime a vécu pendant plus d’un an un véritable cauchemar dans le huis clos de cette brigade. Elle a décidé de sortir du silence pendant le procès.
Deux gradés de la gendarmerie de Joigny sont jugés mardi 2 février par le tribunal correctionnel de Paris pour "harcèlement sexuel".
ILLUSTRATION /SIPA
Photo:
Gémissements suggestifs, propositions graveleuses, commentaires vulgaires… Deux gendarmes gradés de Joigny (Yonne) comparaissent ce mardi 2 février devant le tribunal correctionnel de Paris pour "harcèlement sexuel". Ils sont soupçonnés d’avoir fait vivre un véritable cauchemar à l’une de leurs subordonnées pendant plus d’un an, entre octobre 2012 et novembre 2013. La jeune gendarme, originaire de La Réunion, n’est parvenue à faire cesser cette situation intimidante qu’après avoir déposé plainte et s’être tournée vers l’association de défense des droits des militaires. Ses deux supérieurs, un maréchal des logis chef et un adjudant, ont été suspendus à la suite d’une enquête de l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN).
"Je te niquerais bien"
Aux enquêteurs, la victime a raconté avoir été harcelée sexuellement. Dans le huis clos de la brigade de Joigny, ces deux gendarmes auraient tenu des propos humiliants, auxquels metronews a eu accès : "Je t’ai entendu baiser avec ton copain ; il faut que tu me montres (...). Les Réunionnaises sont chaudes du cul, elles sont bonnes, elles aiment le cul", aurait ainsi dit l’adjudant. Ce dernier lui aurait par ailleurs proposé pendant une patrouille "un plan à trois" ainsi qu'une fellation tout en gémissant de "manière suggestive".
L’autre gendarme, maréchal des logis chef, est soupçonné d’avoir embrassé de force la victime sur la bouche. Les propos qu’il aurait tenus sont d’une crudité effarante : "Je te niquerais bien, quand est-ce qu’on baise ? Je vois bien tes dents autour de ma bite […]. J’aimerais [...] te mordiller les tétons". Marie*, 26 ans, a aussi raconté au juge qu’il avait exhibé son bâton télescopique, avant de la prévenir : "Tu vas voir, je vais te l’enfoncer dans la chatte". Il est aussi poursuivi pour avoir pointé son arme de service sur la victime.
EN SAVOIR + >> "Parlez-vous du cul de votre colonel ?" Un an de sursis pour les deux gendarmes
Hiérarchie "complaisante" ?
L’enquête a établi que des témoins et des collègues de la victime avaient corroboré une partie des propos rapportés par Marie. "C’est très difficile pour elle d’en parler. Elle a été mutée ailleurs et craint beaucoup pour son avenir dans la gendarmerie", explique auprès de metronews son avocate, Elodie Maumont. Selon elle, la hiérarchie a "fermé les yeux sur la situation". Pire, elle a été "complaisante". "Ma cliente a même reçu des pressions il y a quelques jours de la part d’un officier qui l’a interrogée dans le cadre de la procédure administrative", assure-t-elle.
Si les deux gendarmes reconnaissent des "plaisanteries", voire des "blagues salaces", ils contestent le caractère de "harcèlement sexuel". Sollicité par nos soins, l’avocat d’un des mis en cause n’a pas voulu commenter l’affaire avant le procès. Marie, qui entend poursuivre une carrière au sein de la gendarmerie, a pour sa part décidé de réserver "l’exclusivité de ses propos" au tribunal.
*Le prénom a été modifié
EN SAVOIR + >> Un médecin militaire jugé pour des attouchements sexuels
En 2015, la cellule Thémis a ouvert 75 dossiers
Mise en place courant 2014, la cellule Thémis du ministère de la Défense permet de prendre en charge et d'accompagner les victimes de violences sexuelles au sein de l'armée. En 2015, 75 dossiers ont été ouverts, révélait metronews la semaine dernière. Dans le détail, la cellule s’est saisie de huit cas de viols, 15 cas d’agressions sexuelles, 14 cas de harcèlement sexuel, 26 cas de discriminations homophobes, 5 cas de captations d’images portant atteinte à la vie privée, 6 cas de harcèlement sexiste et un cas d’agression visant une femme.
Les victimes sont des femmes dans 90% des cas, alors qu’elles ne correspondent qu’à 15% des effectifs des armées françaises. Elles ont en grande majorité moins de 25 ans. Par ailleurs, 80% des victimes et 60% des auteurs sont des militaires du rang. Une catégorie de militaires qui correspondent à 40% de l’ensemble des personnels.
Le parquet a requis un an de prison avec sursis contre deux gendarmes, poursuivis pour harcèlement sexuel aggravé contre une jeune collègue, ce mardi 2 février.
Gestes obscènes, propositions salaces quotidiennes... La victime n'a pas été épargnée. Ça a commencé "dès que j'ai téléphoné pour me présenter", avec une allusion sexuelle sur ses origines réunionnaises. Marie (prénom modifié), 26 ans, a donc accablé à la barre Julien G. et Ludovic F., deux gradés de la brigade de Joigny, sur les bords de l'Yonne, où elle a travaillé d'octobre 2012 à novembre 2013.
Pendant un an, la jeune femme a subi les remarques de ses collègues de travail : "Ca te dit un plan à trois?" dans une voiture de patrouille aux sièges tachés de sperme; "Fais-moi une pipe"; "Les Réunionnaises, elles sont chaudes, montre-moi ce que tu sais faire". Sans compter des "gémissements" sur son passage, ou un geste obscène mimé avec une matraque... "C'était normal, c'était habituel", a dit la jeune femme, en uniforme qui travaille désormais en région parisienne.
L'avocate de la plaignante, Me Élodie Meumont, a parlé d'un "parcours du combattant" face à deux supérieurs "ligués" contre Marie et a demandé 55.000 euros de dommages et intérêts pour sa cliente. De son côté, Jacques Bessy, président de l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil), partie civile, a demandé une peine "pédagogique" et "exemplaire" à l'encontre des deux hommes qui assurent ne pas avoir "eu l'intention de nuire".
"Ce n'est pas parce que ce sont des paroles que ce n'est pas grave"
L'adjudant Julien G, 38 ans, décrit comme un "gendarme de valeur", s'est défendu en qualifiant ses agissements de "dérapage" ou de "plaisanterie de mauvais goût". Mais ce père de trois enfants, a tout de même été suspendu de la gendarmerie. La procureure de la République, Sandrine Guillon a aussi requis une interdiction d'exercice de cinq ans, en plus du sursis. Son avocat Franck Princet, demandant la relaxe, a dit craindre un "procès pour l'exemple". Il a aussi remis en cause le témoignage d'une plaignante souffrant de "failles narcissiques", et "prête à tout" dès son arrivée à Joigny pour être mutée auprès de son compagnon, en région parisienne.
Sandrine Guillon s'est ensuite montrée plus sévère avec Ludovic F., maréchal des logis chef de 37 ans, en raison de son "habitude ancienne" de tenir des propos "particulièrement grossiers" aux femmes. La magistrate a estimé que ce dernier - accusé en outre d'avoir menacé la plaignante avec son arme de service - n'avait "plus sa place" dans la gendarmerie. Elle a donc demandé une interdiction définitive. "On va vous dire que c'est un milieu viril, il y a des plaisanteries grasses, il faut que les femmes s'en accommodent. Mais il y a une limite. Il faut que les femmes, qui représentent 16% des effectifs de la gendarmerie, puissent trouver leur place", a-t-elle dit, lançant: "Ce n'est pas parce que ce sont des paroles que ce n'est pas grave".
L'avocate de Ludovic F, Me Véronique Costamagna a assuré que les propos de son client, décrit par sa hiérarchie comme étant d'une intelligence limitée, n'étaient "pas ciblés" contre la plaignante. "Ne prononcez pas cette peine d'élimination" définitive de la gendarmerie, pour des erreurs "grossières" et "sans malice", a-t-elle plaidé.
La justice rendra son avis le 5 avril.
Sur LIBERATION : https://www.liberation.fr/societe/2016/02/02/un-an-avec-sursis-requis-contre-deux-gendarmes-poursuivis-pour-harcelement_1430691
Un an avec sursis requis contre deux gendarmes poursuivis pour harcèlement
Par AFP —
Le parquet a requis mardi un an de prison avec sursis contre deux gendarmes, poursuivis pour harcèlement sexuel aggravé contre une jeune collègue Photo LOIC VENANCE. AFP
Un an avec sursis requis contre deux gendarmes poursuivis pour harcèlement
Gestes obscènes, propositions salaces, chaque jour, ou presque: le parquet a requis mardi un an de prison avec sursis contre deux gendarmes, poursuivis pour harcèlement sexuel aggravé contre une jeune collègue.
Contre l’adjudant Julien G., 38 ans, décrit comme un «gendarme de valeur», la procureure Sandrine Guillon a requis en plus une interdiction d’exercice de cinq ans.
Elle a été plus sévère pour Ludovic F., maréchal des logis chef de 37 ans, en raison de son «habitude ancienne» de tenir des propos «particulièrement grossiers» aux femmes.
La magistrate a estimé que ce dernier, que la jeune plaignante accuse en outre de l’avoir menacée de son arme de service, n’avait «plus sa place» dans la gendarmerie. Et demandé une interdiction définitive.
«On va vous dire que c’est un milieu viril, il y a des plaisanteries grasses, il faut que les femmes s’en accomodent. Mais il y a une limite. Il faut que les femmes, qui représentent 16% des effectifs de la gendarmerie, puissent trouver leur place», a-t-elle dit, lançant: «Ce n’est pas parce que ce sont des paroles que ce n’est pas grave».
Ca a commencé «dès que j’ai téléphoné pour me présenter», avec une allusion sexuelle sur ses origines réunionnaises: Marie (prénom modifié), 26 ans, avait auparavant accablé à la barre ces deux gradés de la brigade de Joigny, sur les bords de l’Yonne, où elle a travaillé d’octobre 2012 à novembre 2013.
«Ca te dit un plan à trois?» dans une voiture de patrouille aux sièges tachés de sperme; «Fais-moi une pipe»; «Les Réunionnaises, elles sont chaudes, montre-moi ce que tu sais faire». Sans compter des «gémissements» sur son passage, ou un geste obscène mimé avec une matraque...
«C’était normal, c’était habituel», a dit la jeune femme, en uniforme. Elle travaille désormais en région parisienne.
Son avocate Elodie Meumont, parlant d’un «parcours du combattant» face à deux supérieurs «ligués» contre elle, a demandé 55.000 euros de dommages et intérêts pour sa cliente.
Jacques Bessy, président de l’Association de défense des droits des militaires (Adefdromil), partie civile, a demandé une peine «pédagogique» et «exemplaire».
interrogés par la présidente Isabelle Pulver, les deux prévenus, tous deux fils de gendarmes, ont assuré n’avoir pas eu «l’intention de nuire».
L’adjudant Julien G. a parlé de «dérapage» ou de «plaisanterie de mauvais goût». Décrit comme un militaire prometteur et bien noté, ce père de trois enfants, suspendu de la gendarmerie, est actuellement en congé parental.
Son avocat Franck Princet, demandant la relaxe, a dit craindre un «procès pour l’exemple». Il a aussi remis en cause le témoignage d’une plaignante souffrant de «failles narcissiques», et «prête à tout» dès son arrivée à Joigny pour être mutée auprès de son compagnon, en région parisienne.
Le maréchal des logis chef Ludovic F., lui aussi suspendu, a reconnu avoir «mal agi».
«Il m’arrive de parler de sexe avec des collègues femmes sur le ton de la plaisanterie», a dit le gendarme, parlant d'«échanges» avec la plaignante.
«Une femme jeune, jolie de surcroît, arrive dans une brigade et tombe sur un supérieur hiérarchique qui constamment lui parle de ses +rustines», de ses seins, et vous nous dites que c’est un échange?» s’est emportée la présidente.
L’avocate de Ludovic F. a assuré que les propos de son client, décrit par sa hiérarchie comme étant d’une intelligence limitée, n’étaient «pas ciblés» contre la plaignante. «Ne prononcez pas cette peine d’élimination» définitive de la gendarmerie, pour des erreurs «grossières» et «sans malice», a plaidé Me Véronique Costamagna.
Harcèlement sexuel à la gendarmerie de Joigny : Un an avec sursis requis contre deux gendarmes
JUSTICELes gestes obscènes et propositions salaces étaient quotidiennes dans cette gendarmerie sur les bords de l’Yonne…
20 Minutes avec AFP
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Gestes obscènes, propositions salaces, chaque jour, ou presque: le parquet a requis mardi un an de prison avec sursis contre deux gendarmes, poursuivis pour harcèlement sexuel aggravé contre une jeune collègue. Contre l'adjudant Julien G., 38 ans, décrit comme un «gendarme de valeur», la procureure Sandrine Guillon a requis en plus une interdiction d'exercice de cinq ans.
Elle a été plus sévère pour Ludovic F., maréchal des logis chef de 37 ans, en raison de son «habitude ancienne» de tenir des propos «particulièrement grossiers» aux femmes. La magistrate a estimé que ce dernier, que la jeune plaignante accuse en outre de l'avoir menacée de son arme de service, n'avait «plus sa place» dans la gendarmerie. Et demandé une interdiction définitive.
« C’est un milieu viril »… « Mais il y a une limite »
«On va vous dire que c'est un milieu viril, il y a des plaisanteries grasses, il faut que les femmes s'en accomodent. Mais il y a une limite. Il faut que les femmes, qui représentent 16% des effectifs de la gendarmerie, puissent trouver leur place», a-t-elle dit, lançant: «Ce n'est pas parce que ce sont des paroles que ce n'est pas grave».
Ca a commencé «dès que j'ai téléphoné pour me présenter», avec une allusion sexuelle sur ses origines réunionnaises: Marie (prénom modifié), 26 ans, avait auparavant accablé à la barre ces deux gradés de la brigade de Joigny, sur les bords de l'Yonne, où elle a travaillé d'octobre 2012 à novembre 2013.
«Ca te dit un plan à trois?»
«Ca te dit un plan à trois?» dans une voiture de patrouille aux sièges tachés de sperme; «Fais-moi une pipe»; «Les Réunionnaises, elles sont chaudes, montre-moi ce que tu sais faire». Sans compter des «gémissements» sur son passage, ou un geste obscène mimé avec une matraque... «C'était normal, c'était habituel», a dit la jeune femme, en uniforme. Elle travaille désormais en région parisienne.
Son avocate Elodie Meumont, parlant d'un «parcours du combattant» face à deux supérieurs «ligués» contre elle, a demandé 55.000 euros de dommages et intérêts pour sa cliente. Jacques Bessy, président de l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil), partie civile, a demandé une peine «pédagogique» et «exemplaire».
Interrogés par la présidente Isabelle Pulver, les deux prévenus, tous deux fils de gendarmes, ont assuré n'avoir pas eu «l'intention de nuire». L'adjudant Julien G. a parlé de «dérapage» ou de «plaisanterie de mauvais goût». Décrit comme un militaire prometteur et bien noté, ce père de trois enfants, suspendu de la gendarmerie, est actuellement en congé parental.
Son avocat Franck Princet, demandant la relaxe, a dit craindre un «procès pour l'exemple». Il a aussi remis en cause le témoignage d'une plaignante souffrant de «failles narcissiques», et «prête à tout» dès son arrivée à Joigny pour être mutée auprès de son compagnon, en région parisienne.
Un accusé décrit par sa hiérarchie comme étant d’une intelligence limitée
Le maréchal des logis chef Ludovic F., lui aussi suspendu, a reconnu avoir «mal agi». «Il m'arrive de parler de sexe avec des collègues femmes sur le ton de la plaisanterie», a dit le gendarme, parlant d'«échanges» avec la plaignante. «Une femme jeune, jolie de surcroît, arrive dans une brigade et tombe sur un supérieur hiérarchique qui constamment lui parle de ses +rustines», de ses seins, et vous nous dites que c'est un échange?" s'est emportée la présidente.
L'avocate de Ludovic F. a assuré que les propos de son client, décrit par sa hiérarchie comme étant d'une intelligence limitée, n'étaient «pas ciblés» contre la plaignante. «Ne prononcez pas cette peine d'élimination» définitive de la gendarmerie, pour des erreurs «grossières» et «sans malice», a plaidé Me Véronique Costamagna.
Avocat associé et fondateur - Spécialisé en droit pénal avec la qualification spécifique droit pénal militaire Dotée d'une expertise reconnue en droit des militaires, des personnels de défense et de sécurité intérieure, et exerçant depuis plus de 20 ans, Elodie MAUMONT a plus particulièrement en charge au sein de MDMH AVOCATS le contentieux de carrière des militaires et des gendarmes (notation, mutation, avancement, habilitation secret défense ...) le contentieux disciplinaire (sanction, conseil d’enquête) et le contentieux pénal des militaires et anciens militaires (désertion, harcèlement, violences, outrages, voies de fait, compromission, blessures et homicides involontaires ...). Elle intervient conjointement avec Aïda MOUMNI dans le cadre du contentieux médico administratif des militaires (jurisprudences BRUGNOT et autres) en lien avec les problématiques de souffrance au travail, harcèlement, discriminations…
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Avocat associé et fondateur - Spécialisé en droit pénal avec la qualification spécifique droit pénal militaire Dotée d'une expertise reconnue en droit des militaires, des personnels de défense et de sécurité intérieure, et exerçant depuis plus de 20 ans, Elodie MAUMONT a plus particulièrement en charge au sein de MDMH AVOCATS le contentieux de carrière des militaires et des gendarmes (notation, mutation, avancement, habilitation secret défense ...) le contentieux disciplinaire (sanction, conseil d’enquête) et le contentieux pénal des militaires et anciens militaires (désertion, harcèlement, violences, outrages, voies de fait, compromission, blessures et homicides involontaires ...). Elle intervient conjointement avec Aïda MOUMNI dans le cadre du contentieux médico administratif des militaires (jurisprudences BRUGNOT et autres) en lien avec les problématiques de souffrance au travail, harcèlement, discriminations…
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